Media sur les Soeurs Mariales
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Communiqué des Amis des Soeurs Mariales
Depuis la mort du Père Marie-Dominique PHILIPPE, divers écrits ont paru sur lui ou à son propos, pour ou contre.
Que ces écrits émanent d'amis ou de contradicteurs du P. MD Philippe, ils ont un point commun : ils parlent des Soeurs Mariales (de leur fondatrice Mère Myriam, de leur grâce, de leur histoire, de leur lien avec le P. MD Philippe, de leur statut ecclésiastique etc) sans les avoir contactées d'aucune façon auparavant.
Non seulement l'avertissement du Pape François, mais toute la Bible, voire la simple éthique, interdisent, par respect pour la dignité de la personne, de se servir d'un être humain comme d'un objet.
Sur le plan de la justice humaine, les Soeurs Mariales n'auraient-elles pas eu droit au même respect avec lequel elles ont traité leur prochain, y compris ceux qui, depuis des décennies, les abreuvent de calomnies, de diffamations, de désinformations, de dénigrements, de sous-entendus habilement placés ?
Or, pendant toutes ces décennies, face à tout cela, elles ont gardé le silence.
Pourquoi n'avoir même pas demandé aux Soeurs Mariales si elles souhaitent figurer dans l'ouvrage et, dans l'affirmative, ce qu'elles auraient à faire connaître ?
Cela aurait évité la publication d'erreurs, objectivement et historiquement reconnaissables comme telles, ou encore de devoir broder, voire inventer, à défaut de connaître la vérité.
Agir "sur opinion", sans connaissance personnelle, sans "expérience réaliste" ; pour un écrit sur le Père Marie-Dominique Philippe, c'est une lacune de taille.
Ne donner qu'une opinion, ne s'exprimer que de manière à arranger un groupe de pression et à n'appuyer que le point de vue qu'il veut faire passer, c'est la définition même que donne le Pape François de la désinformation.
S'y ajoutent souvent des diffamations calomnieuses, des fabulations, des fausses attributions, des procès d'intention, des fausses interprétations d'actes, etc.
Le résultat sera de défigurer, jusqu'à la rendre méconnaissable, la personne concernée.
Qu'il s'agisse d'une communauté dans son ensemble ou de n'importe lequel de ses membres.
Si les rédacteurs, ou les relecteurs, d'écrits sur le Père Marie-Dominique Philippe ne pensent pas devoir rencontrer, dans une vraie charité fraternelle, ceux sur qui ils écrivent, la moindre honnêteté intellectuelle exigerait qu'ils s'abstiennent alors de les mentionner.
Il n'est ni loyal ni juste d'écrire sur des personnes sans les avoir auparavant contactées.
Ne serait-ce que pour leur demander la permission de fabuler sur elles.
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Quand il s'agit de trouver un bouc-émissaire...
Bonjour,
Et d’abord, j’aimerais bien savoir ce que les Soeurs Mariales ont à voir avec la Famille Saint Jean, elles n’ont jamais figuré sur leur site et réciproquement.
Mais quand il s’agit des scandales autour de la Famille Saint Jean, alors là , systématiquement on vous sort les Soeurs Mariales : c’est pratique et surtout c’est bon pour faire diversion.
En 2001, les frères de Saint Jean sont virés du Collège Stan à Paris ? Pas de problème, on vous livre les Soeurs Mariales, et hop ! oubliés les problèmes de " Saint Jean " !
Les mêmes années, les Soeurs Apostoliques avaient des problèmes avec une qui les accusait ? Pas de souci, on va ressortir quelques vieilles calomnies sur les Soeurs Mariales dans le même article et hop ! On ne parlera plus que d’elles, on oublie tout le reste.
Une novice des Soeurs contemplative de Saint Jean brûle la voiture de sa supérieure et passe au Tribunal ? ça ne fait rien : on "se trompe " d’adresse pour faire croire que ça s’est passé chez les Soeurs Mariales, et hop ! on oublie l’affaire des Soeurs contemplatives !
Un scandale de pédophilie chez les Frères de Saint Jean d’Angoulême ? vite, on reparle un peu des Soeurs Mariales et hop ! le scandale des frères part aux oubliettes.
Suicide d’un frère à Attichy ? On vous ressort vite encore les Soeurs Mariales, et hop ! Oublié, le suicide du Fr Chrysostome !
Que le Procureur de la République en 2005, après des années d’enquête approfondie, innocentait les Soeurs Mariales ? Alors là , chut ! n’en parlons pas ! cela retirerait aux Soeurs Mariales leur fonction de bouclier humain !
Faudrait pas, surtout !
5 juin 2010 20:20, par Observateur
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Et quand ça continue...
Mais c’est bien ce que je disais ! Et je constate que vous me donnez raison : nous voici passés du suicide d’un frère de Saint Jean à un exposé sur les Soeurs Mariales, les paratonnerres de Saint Jean. Qui d’ailleurs ne les utilise qu’à cela : se cacher derrière et les servir en plat de résistance. Pour ne pas se faire bouffer. Pratique.
Perso, je n’ai pas d’actions chez ces soeurs mariales. Mais je déteste l’utilisation des personnes à des fins stratégiques. Fussent-elles ecclésiastiques.
C’est sûr : faire figurer les soeurs mariales (paix à leurs cendres) dans la Lettre aux amis, entre 95 et 2001, n’était pas idiot. Pour les faire servir de serpillières pour éponger les diverses saletés "fraternelles".
D’ailleurs, que ces soeurs maintenant fassent partie ou non de la famille saint Jean, ne change rien : elles ne leur servent toujours que de boucliers humains. Habile !
Au fait, dès votre premier commentaire ici, vous faites la même chose : diversion. Diversion du sujet de l’article que vous êtes censé commenter, à savoir le suicide de ce pauvre garçon à Attichy. Dont nous ne savons toujours pas pourquoi il est mort.
Ce sont les faits qui parlent. Encore mieux que les écrits. Fussent-ils imprimés !
9 juin 2010 19:12, par Observateur
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OBEISSANCE ECCLESIALE DE MERE MYRIAM
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LA VERITE SUR LES SŒURS DE MERE MYRIAM
On les appelle "les Sœurs bleues" à cause de leur vêture bleu ciel.
Elles ont deux implantations dans la Loire : à Saint Jodard, dans une ancienne ferme, au lieu-dit Le Cellard,
et à Mars, dans l'ancienne maison des sœurs Saint Charles.
Cette dernière est la maison-mère de la Congrégation tandis que le siège est en Slovaquie où Mgr Kojnok l'a reconnue.
Ces temps derniers, la presse nationale a mis à la une cette congrégation nouvelle…
Le maire de St-Jodard, M.Bobillon,
qui connaît les Sœurs Mariales et leur fondatrice, Mère Myriam, depuis le début,
se dit très étonné par cette campagne.
"On n'entend jamais parler d'elles dans la village, elles ont d'excellents rapports avec leur voisin" répète-t-il.
S'il y a eu, voici 15 ans, à leurs débuts à St-Jodard, des moments difficiles et mouvementés, il l'explique.
"Elles eurent à régler un problème de propriété
parce qu'une sœur a quitté la communauté et a voulu reprendre la maison dans laquelle elles logeaient et qu'elle leur avait louée.
C'est une affaire privée.
Elles avaient fait le choix aussi de l'accueil de drogués, gens mal dans leur peau, ou fragiles sur le plan psychique.
D'où des agitations ou des cris, la nuit, sur la place de St-Jodard.
Tout cela est loin mais l'impression qu'elles traînent comme un boulet ce passé difficile.
Il s'est toujours trouvé également des parents voulant sortir leur fille de cette communauté,
mais ce sont des filles majeures, libres de leur choix".
"A St-Jodard, au milieu des champs, la vie se déroule dans le silence, l'étude, le travail manuel, et la prière.
Les offices ponctuent la journée, récités recto tono dans une étable transformée en une jolie petite chapelle.
Leur vie est pauvre mais joyeuse et saine."
"Moi, évêque de Roznava;
je me porte garant
de cette communauté…"
A la suite des articles publiés dans la presse nationale, et dont un certain nombre de nos lecteurs se sont étonnés,
Mgr Eduard Kojnok, évêque de Roznava, en Slovaquie, qui a reconnu les Sœurs Mariales, a publié une déclaration de soutien à leur égard.
"Les paroles du Saint Père sur le martyre qu'il nous faut souvent accepter pour suivre le Christ
trouvent un exemple éclatant dans le martyre de Mère Myriam et de sa communauté.
Des harcèlements et menaces jusqu'à la flagellation publique via la presse, rien ne leur est épargné.A l'exemple du Divin Sauveur, Mère Myriam se tait.
Ses ennemis ont beau jeu de se servir unilatéralement des médiasqu'ils trompent d'autant plus facilement qu'ils sont seuls à parler.
C'est ainsi que le mensonge engendre le mensonge et finalement le meurtre,
meurtre de la justice et de la dignité humaine, mort sociale de l'innocent.
Mère Myriam accepte en silence ce martyre non (encore) sanglant
où des hommes costauds n'hésitent pas à utiliser les rouages du monde
pour terroriser ces femmes totalement consacrées à Dieu et toute vouées à sa Mère, dans le silence et la prière.
Mais l'Eglise, elle, ne peut pas se taire sans paraître, devant Dieu et devant l'histoire, complice de ces trahisons.Moi, Monseigneur Eduard Kojnok, évêque de Roznava, je me porte garant de cette communauté comme de sa fondatrice.
De fait, c'est moi qui ai reconnu cette communauté par décret, le 2 février 1999, comme congrégation de droit diocésain.
Depuis, je n'ai eu qu'à m'en féliciter.
J'en assume toute la responsabilité devant Dieu et les hommes.
Aujourd'hui, de tous les évêques vivants, c'est moi qui connais depuis le plus longtemps et le mieux cette communauté.
J'ai pris le temps de faire moi-même les enquêtes préliminaires à sa reconnaissance.
Je la vois vivre au quotidien depuis des années
et je suis témoin du grand bien qu'elles font à mon diocèse et des bonnes relations avec les familles…".
L'évêque témoigne aussi que Mère Myriam
"réveille partout où elle passe la foi en Dieu
et le désir de fraternité entre les hommes
dans le respect même de leurs différences.
Depuis 18 ans,
elle accepte en silence les calomnies les plus éhontées
et qui n'ont pas résisté à un examen un tant soit peu sérieux.
Le Cardinal Decourtray a écrit en 1988 :
"Mère Myriam a toujours été obéissante aux conseils qui lui ont été donnés".
Je le confirme aujourd'hui à 100%.
Mais ses qualités humaines,
Mère Myriam les considère comme rien
à côté de l'Amour du Christ et de la Sainte Vierge, sa Mère.
Elle vit ce qu'elle enseigne,
c'est pour cela que le peuple ne s'y trompe pas et est attiré par ce qu'elle dit autant que par ce qu'elle vit".
L'évêque parle des familles "qui cherchent tous les moyens pour récupérer les jeunes filles".
Et il ajoute :
"Il suffit que quelques familles se réunissent en association afin de discréditer une communauté religieuse
pour faire taire la multitude de familles généreuses et heureuses de savoir leur fille dans une communauté fervente…
Aussi, je demande qu'il soit noté
que moi, Monseigneur Eduard Kojnok, évêque de Roznava, successeur des Apôtres,
proteste ouvertement contre le sort qui est fait à Mère Myriam et à sa communauté.
Et je souhaite que les Sœurs Mariales se multiplient dans mon diocèse, en Slovaquie, et dans le monde entier".
Louis PRALUS
L'ESSOR du Roannais, 2 mars 2001
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"LES SŒURS BLEUES BLANCHIES DE TOUTE DERIVE SECTAIRE."
Vingt gendarmes ont perquisitionné,
mercredi 6 juillet, à Saint-Jodard et à Mars,
à la recherche « d'éventuelles dérives sectaires ».
Les militaires,
qui agissaient dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Roanne,
n'ont procédé à aucune interpellation.
Les perquisitions
menées par les gendarmes de la Section de Recherche de Lyon
et de la Compagnie de Roanne,
n'ont permis d'établir aucun faitde maltraitance,de séquestrationou de détournement d'argent,
selon les enquêteurs.
Les investigations et les auditions se sont déroulées pendant toute la journée de mercredi,
sans incident,
en présence de Mère Myriam, la fondatrice de la communauté.
Le Pays Roannais, 15 juillet 2005
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"Soeurs Mariales de Saint-Jodard
"PAS DE TRACES DE SEQUESTRATION OU DE MALTRAITANCE"
Ce sont les premières conclusions du Procureur de la République de Roanne
à l'issue des auditions et perquisitions menées à Saint-Jodard
au sein de la communauté des Soeurs Mariales, dissoute en mars dernier par le cardinal Barbarin.
Elles mettent fin à de multiples rumeurs persistantes.
"lL N'Y AVAIT PAS de traces de séquestration ou de maltraitance" -
ce sont les conclusions que livre le Procureur de la République de Roanne,
Marie-Christine Jamain,
suite à la journée d'auditions et aux perquisitions
qui ont eu lieu mercredi au sein de la communauté des Sœurs Mariales
de Saint-Jodard,
au monastère du Cœur de I'Agneau.
"On n'a rien trouvé qui puisse donner corps à des dénonciations".
Les gendarmes de la section de recherches de Lyon,
qui intervenaient sur commission rogatoire,
ont été très bien accueillis par des sœurs
qui leur ont ouvert en grand les portes du monastère
"alors qu'elles auraient très bien pu refuser la perquisition
puisqu'il s'agissait d'une enquête préliminaire", indique le Procureur.
"Elles ont été très accueillantes",
ajoute-t-elle, précisant que
"les sœurs ne sont pas coupées de l'extérieur
puisqu'il y a eu des coups de téléphone extérieurs pendant les auditions".
Pendant une partie de la journée,
toutes les sœurs ont été interrogées individuellement,
y compris la fondatrice de la communauté, sœur Myriam,
qui est civilement connue sous le nom de Tunde Szentes.
"Nous, on a été ravies de les voir, qu'ils viennent nous interroger,
indiquait hier une sœur, en parlant des gendarmes ;
on a pu dire la vérité de ce que nous vivons (...)
Ils ont pu voir qu'on est là librement, qu'on ne subit aucun sévice,
que notre vie n'a rien de répréhensible".
Et de déclarer :
"Il y a eu beaucoup de faux témoignages
sur des violences qui remontent à une période où sœur Myriam n'avait aucun lien avec la communauté
puisqu'elle y est revenue en 1999 après onze ans d'absence."
Le Progrès, 8 juillet 2005, Kevin TRIET
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LES DEUX GRACES DE SOEUR MYRIAM
"Elle est peut-être en train de dynamiter, en toute candeur, deux mille ans de guerres de religion."
France Soir Magazine, 1983
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LES DEUX NOËLS DE MERE MYRIAM
"Il ne s'agit pas de réaliser un quelconque synchrétisme entre judaïsme et christianisme.
Simplement, permettre aux hommes juifs et aux hommes chrétiens de se connaître et de se comprendre."
Nouvel Observateur, 1983